dimanche 21 juin 2009

Fédère celui qui rassemble et favorise une union



Ce sont des petits trésors de la vie. Des petits moments de félicité. Accordons-leur de surtout avoir lieu le week-end. Ben oui, faut être franc, le week-end, c'est mieux que la semaine. Déjà, on se lève quand on veut. En plus, on ne travaille pas. Aussi, on peut s'habiller comme on veut ; ce qui implique de ne pas être obligé de mettre des chaussures jolies-mais-qui-font-mal-aux-pieds. Et puis, on peut prendre son temps. Et puis, on peut passer du temps avec ceux qu'on aime. Et puis, on ne se torture pas les neurones comme au travail. Enfin bref, le week-end, c'est bien. C'est mieux. C'est un terrain propice au bonheur. Le week-end, on peut entendre des phrases comme "Il a déjà 14 titres du Grand Chelem a son actif. Il a gagné l'Open d'Asutralie en 2004, 2006 et 2007, l'US Open en 2004, 2005, 2006, 2007 et 2008, Wimbledon en 2003, 2004, 2005, 2006 et 2007. Roland Garros en 2009. Roooooger FEDERER !!!!!" Ce week-end, le terrain de Roland Garros était LE terrain propice au bonheur. Bonheur d'être entre amis. Bonheur du joueur qui atteint son rêve. N'avons-nous pas besoin de ces icônes ? Celles qui réussissent, celles qui gagnent. Celles dont le parcours vous dit "Accroche-toi, crois en tes rêves." Celles qui prouvent que le bonheur est possible. Qu'on peut être heureux professionnellement et heureux personnellement. Non, il n'est pas indécent d'être heureux. Comme elles font du bien ces icônes qui pleurent de joie. Qui tombent à genoux. Dont la voix tremble d'émotion. Sous le soleil ou sous la pluie. On aime se laisse aller au bonheur de celui qui gagne, le coeur plein. On aime ces frissons. Ce week-end, là où la politique rame, l'amitié et le sport offrent des doux moments...Ce week-end, le seul à fédérer, c'était Federer.

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